Le dernier bain de Beau est turc...

Renommé tel un caniche "BEAU" il y a peu, l'Île de Beauté s'est vu retirer ses logos "SNCM" qu'il portait depuis sa mise en service en 1979 pour la compagnie.
Construit aux chantiers Dubigeon à Nantes il y a 34 ans sous le nom de "Cyrnos", le ferry s'est fait greffer une vingtaine de mètres supplémentaires dix ans plus tard, et s'est à l'occasion fait renommer "Île de Beauté".
En 1992, Île de Beauté a transporté des troupes françaises vers l'Arabie Saoudite à l'occasion de la guerre du Golfe.
Le 2 septembre 2012, il quittait à jamais la Corse pour Toulon, où il aura attendu un repreneur pendant 8 mois, en vain. Il a rejoint Bizerte en Tunisie puis a finalement été acheminé aux commandes de l'armateur turque Marti Shipping et sous pavillon panaméen en Turquie, au chantiers d'Aliaga pour y être "recyclé" (ou "détruit" selon les goûts)
Ainsi s'achève l'histoire de Cyrnos, un ferry français jusqu'à son dernier trajet commercial, qui aura servi toute sa longue vie à la SNCM entre Marseille, Toulon, Nice, la Corse et le Maghreb.
Construit aux chantiers Dubigeon à Nantes il y a 34 ans sous le nom de "Cyrnos", le ferry s'est fait greffer une vingtaine de mètres supplémentaires dix ans plus tard, et s'est à l'occasion fait renommer "Île de Beauté".
En 1992, Île de Beauté a transporté des troupes françaises vers l'Arabie Saoudite à l'occasion de la guerre du Golfe.
Le 2 septembre 2012, il quittait à jamais la Corse pour Toulon, où il aura attendu un repreneur pendant 8 mois, en vain. Il a rejoint Bizerte en Tunisie puis a finalement été acheminé aux commandes de l'armateur turque Marti Shipping et sous pavillon panaméen en Turquie, au chantiers d'Aliaga pour y être "recyclé" (ou "détruit" selon les goûts)
Ainsi s'achève l'histoire de Cyrnos, un ferry français jusqu'à son dernier trajet commercial, qui aura servi toute sa longue vie à la SNCM entre Marseille, Toulon, Nice, la Corse et le Maghreb.
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